Additional information
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$250.00 – $500.00
This photo belongs to a series of artistic nudes on the theme of the Genesis.
The nude is lying of a chair having the form of a shell, which can be found in the iconography of the painting “The Birth of Venus” by Botticelli.
Tag: Schwarzweiß FotografieFormat | |
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Photographer |
Format A3 (30x42cm)
if the artwork is square, it will be 30cm large
Format A2 (42x59cm)
if the artwork is square, it will be 42cm large
Others formats : bigger formats up to 1 meter are available. Please send us a request
You can see this artwork in the whole context of its series. You also can order the following photos which are at a similar price
On the wall, the plan of a medieval city.
This seat has feet of great finesse, designed for a use beyond the functional.
In this architectural space, the nude is nourrished by the mathematical properties that are reflected on the lenticular mirror.
She lies down on the couch and the perfection of his vertebral column is emerging along its body
“Your building are just lures. I cannot be seen in any reflection”.
The nude whose the position displaces the body shape appears as a cubist volume.
It is set only on ephemeral contact points.
This precarious balance defies the gravity by the swelling of muscles that betray the inner transformation into monstrous proportions.
This is the slow metamorphosis identical into a immemorial Venus .
The curved face and the extension of the torso where the breath gushes, carve the furrow of the rib cage.
It is a struggle between the bones and flesh, a simultaneous vision of a body full of vitality and its inert structure.
The light is placed on the female triangle, decent and smooth.
The breath has come along this body to reveal its duality.
The vertical light cut the body in its silhouette. It would be into darkness if it was not lit by the double of the dazzling thread, reflected by the cavity of pristine shell.
The light source is redefined at the place of the nude whose body seems to emerge from this primitive aura.
The perspective widens on the entire image, and by a reversal scale, the slot of light can be transposed to the one that generates the human specie.
Le long d’une réflexion
Sur le mur, le plan d’une cité médiévale.
Le siège tout en longueur possède des pieds d’une grande finesse, conçu pour un usage au-delà du fonctionnel.
Dans cet espace architectural le nu se nourrit des propriétés mathématiques qui apparaissent sur le miroir lenticulaire.
Il s’allonge sur le divan et la perfection de sa colonne vertébrale se dessine le long de son corps
“Vos construction ne sont que des leurres. Je ne peux être vue dans aucun reflet”.
Le souffle
Le visage arqué du nu et l’extension du buste d’où jaillit le souffle, creusent les sillons de la cage thoracique
C’est une lutte entre les os et la chair, une vision simultanée d’un corps plein de vitalité et de sa structure inerte.
La lumière se pose sur le triangle féminin, pudique et lisse.
Le souffle parcourt ce corps pour lui révéler dans sa dualité.
OriginElle
La lumière verticale et crue découpe le corps dans sa silhouette. À contrejour, elle serait plongée dans le noir si elle n’était pas éclairée par le double de ce fil éblouissant, réfléchi par la cavité du coquillage immaculé.
L’origine lumineuse est ainsi redéfinie à l’endroit du nu dont le corps semble émerger de cette aura première.
La perspective s’élargit sur l’ensemble de l’image, et par un renversement d’échelle la fente de lumière initiale se transpose sur celle qui engendre l’espèce humaine.
Immémoriale Venus
Le nu dont la disposition exalte les formes du corps apparait comme un volume cubiste à multiple facettes
Il ne tient plus que sur d’éphémères points de contact.
Cet équilibre précaire défie la pesanteur par le gonflement des muscles qui trahissent la transformation interne en de proportions monstrueuses.
C’est la lente métamorphose en une Venus des temps immémoriaux.